Vendredi 25 août 2006 à 11:23

-Je mérite tout, tout doit être mérité.
Que faut-il faire pour l'avoir donc ?

tu passes ta vie a subir les autres. eux n'en ont rien à faire de toi.
alors que faire?                                             
Solitude mon amie, solitude ma vie.

On croit tout de suite que tu vas te renfermer dans ta bulle. dépression, exténuation...

qui sont-ils pour savoir ce qui est bon pour toi, ils ne te connaissent même pas.

personne ne te connaîtra jamais réellement, t'en aurais envie mais tu sais que c'est impossible. jamais personne n'aura les mêmes pensées que toi. T'as vraiment des pensées bizarres.

Tu crois à autre chose, tu crois que le monde est injuste et t'as bien raison.. Sinon qu'est-ce qui permet à la vie de t'avoir mise dans un tel état ?

T'en sais rien, c'est bien ça le pire.
comme si tout allait déjà pas assez mal, ton petit cerveau te tortures les hormones.
Faut choisir ma vieille ! pourquoi ? paske !!
           L'un appel ton fantasme, l'autre la réalité. les deux n'iront jamais ensemble.
alors difficile de deviner, difficile de vouloir le faire comprendre, difficile de pouvoir le faire comprendre.
Le faire comprendre à qui quand y'a personne autour de toi...

tu sais que tu aimes la solitude, tu l'as toi-même dit. tout irait parfaitement si tu vivais dans ton monde. Mais c'est pas le tien c'est celui des autres. Ils sont tout ce que veux l'humanité, toi tu es au delà de ça.

Tu veux toujours plus, toujours trop - Tu peux toujours moins, jamais plus.

Qu'est-ce que tu fous ici alors ?

Ça on t'as jamais demandé ton avis, aurais-tu voulu donné ton avis ?
tu peux na pas vivre, d'accord ?
Et la poussière d'espoir qui se balade en toi crie au scandale.

C'est pour ça que t'es là ?
Voir ce qui ne va pas mais rien pouvoir y faire. la seule réponse que l'humanité te donnerais ce serait le bûcher à une autre époque.

aujourd'hui on appelle ça asile, c'est peut-être pire. Mieux vaut périr rapidement dans une atroce douleur que toute sa vie dans la souffrance continue.

En quelques minutes ton compte est réglé, y'a plus rien à ajouter.

et qui sont-ils pour te juger fou ? pourquoi ce serait pas eux les fous ?
La minorité cèdera toujours sur l'imposant poids de la connerie humaine!

bien dommage, tout n'est que regret par la suite mais c'est bien trop tard.

Faut réfléchir avant. Penser à soi c'est primordial, société qui nous rend tous individualiste, mais penser au vrai.
on sait de tout temps que l'humanité à plein de défauts et de faiblesses. c'est inévitable, alors pourquoi tomber dans le piège.
Saleté de connerie humaine. je l'ai déjà dis ?!

dur, dur, dur. Faut pas non plus s'apitoyer sur le sort des plus faibles, pauvres... la pitié y'en a pas besoin, l'ignorance c'est mieux quand même.

Un suicide, personne semble n'être au courant, on n'en parle pas, tout va bien dans le meilleur des mondes plaisent-ils à croire.

Pour se conforter dans l'idée de liberté égaltaire, république ou monarchie parlementaire ?
emmerdes ou emmerdes ? - Vaste choix, on est en démocratie non ?

alors pourquoi tout va mal !! parce que la personnalité de l'individu et la société ça sonne pas à l'unisson !!
penses aux autres avant de te regarder le nombril, ça sera moins débile.

puis que le peuple c'est tout, utilisons les mots du peuple.

Vouloir sans savoir, craindre parce que ILS l'ont décidé. tout devrait aller de mieux en mieux mais c'est de pire en pire.

Le progrès pour ça, autant rester au temps des cavernes, là c'était intéressant et amusant au moins.

¤T'as l'impression de comprendre, eux non. lucidité de merde !!!
c'est génial de penser comem ça mais c'est douloureux.

De toute façon y'a que par la souffrance que tu peux espérer exister auprès des autres.
Alors tu te joues d'elle, tu crois que c'est grâce à cela que tu vas faire ton petit bout de chemin (qui se veut grand...).
détrompes-toi, c'est pire !

pourquoi y'a pas une quantité limite de larmes donné pour l'individu ? Vive l'innondation !!
et voilà retour à la souffrance,... un jour tes larmes seront sèches et là tu sauras que c'est bientôt la fin... de ta vie.

Mais ce qui te révulse le plus, c'est que tu nous voudrais en rien être un simple individu voyant le cours de sa vie défilé normalement.

Peut-être le fait de savoir ce que tu sais t'en empêches. ça doit être dur d'être un autre sauf si tu ignores que le gens comme toi existe.
t'as pas réponse à tout, loin de là tu aperçois juste l'enveloppe de la pseudo-vérité que tu t'imagines.

Y'a pas de repère, y'a juste la paranoïa qui t'amènes dans un état second.

tu veux vraiment crever ?
         ils attendent que ça, si ils savent que t'existes.
alors continues à chialer et eux vivront !!!

tu penses que je suis vraiment bizarre, t'as peur. et t'as pas tort ! c'est normal c'est moi qui devrait pas être là.

T'aurais dû vivre autre part, tu sais pas où mais autre part.
          et puis espérer vivre tout court,

comme tu le conçois dans ta ptite tête. pas comme eux.

Se prendre pour quelqu'un c'est pas voulu. Le paradoxal c'est moi, je fais avec et ce serait mentir que de dire que je n'aime pas ça.

Mercredi 23 août 2006 à 13:20

Souvent, pour s'amuser, les hommes d'équipage
Prennent des albatros, vastes oiseaux des mers,
Qui suivent, indolents compagnons de voyage,
Le navire glissant sur des gouffres amers.

A peine les ont-ils déposés sur les planches,
Que ces rois de l'azur, maladroits et honteux,
Laissant piteusement leurs grandes ailes blanches
Comme des avirons traîner à côté d'eux.

Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule !
Lui, naguère si beau, qu'il est comique et laid !
L'un agace son bec avec un brûle-gueule,
L'autre, mime en boîtant, l'infirme qui volait !

Le Poète est semblable au prince des nuées
Qui hante la tempête et se rit de l'archer;
Exilé sur le sol au milieu des huées,
Ses ailes de géant l'empêchent de marcher.

Baudelaire, Les fleurs du mal.


Mardi 22 août 2006 à 23:43

Sans toi que serais-je?
Sans toi qui serais-je?
Toi, qui es-tu?
Toi, que fais-tu?

o°o°o
Ton regard n'a qu'un seul changement, celui qui a oublié avant.

o°o°o
Ombre absente, innocence innocente, blancheur blanchâtre d'un lieu trop parfait pour être vrai.

o°o°o
La liberté a été libre le jour où la censure a été censuré.

o°o°o
La clé qui ouvre la serrure de la vie n'en a pas fini de mes soucis.

o°o°o
amitié éternité, amour toujours.

o°o°o
Ecris ton nom sur un bout de papier, déchires-le et tu sauras ce que ressent un oublié.

o°o°o
L'amour vache est un amour cremeux.

o°o°o
N'oublies pas qu'un jour toi seul saura la vérité sur ton passé.

Mardi 22 août 2006 à 22:23



Fermes les yeux petit écureuil. Ton cœur est tendre comme la noisette, la froideur du monde risquerait de te le durcir.
Escaladant les arbres, de tronc en tronc, joues petit écureuil. Roux comme le sucre, danses petit écureuil.


Mardi 22 août 2006 à 21:55


Tout avait commencé un beau jour par un ‘flop', pourquoi est ce que tout doit avoir une fin ?
Après maintes et maintes batailles engendrant l'espoir, le doute, la victoire, l'incertitude, la solidarité, le dépassement de soi. Voilà que le dernier ‘encoded' à retentit dans une base silencieuse et émue par tant d'exploits et de découvertes réalisées, par tant de joie et de souffrance partagées.

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