à pleurer sans larmes.
Le silence s'installe.
Oppressant, affligeant, frustrant.
Cloîtré dans un cube de verre
invisible et inexistant,
il erre.
A la recherche du temps
Un temps pour se découvrir,
un temps pour le découvrir,
un temps pour mourir.
numb22z
A Part Of My Brain
Mercredi 19 juillet 2006 à 17:33
à vivre sans rire,
à pleurer sans larmes.
Le silence s'installe.
Oppressant, affligeant, frustrant.
Cloîtré dans un cube de verre
invisible et inexistant,
il erre.
A la recherche du temps
Un temps pour se découvrir,
un temps pour le découvrir,
un temps pour mourir.
à pleurer sans larmes.
Le silence s'installe.
Oppressant, affligeant, frustrant.
Cloîtré dans un cube de verre
invisible et inexistant,
il erre.
A la recherche du temps
Un temps pour se découvrir,
un temps pour le découvrir,
un temps pour mourir.
Lundi 17 juillet 2006 à 18:59
Ecrit le 13 septembre dernier
mon âme
je l'ai réveillée au commencement de mon existence. une étincelle la garde éveillée pendant toute une vie, je sens sa chaleur me transpercer, elle me brûle, je succombe, sans elle ma vie n'est que désespoir. je la cherche, je la traque, elle me distance, j'abandonne. mon coeur perd son souffle, ma conscience s'évapore au delà des frontières de la vie...
sous terre, la vie prend tout son sens
un coeur fendu, un coeur brisé, un coeur consumé, une épave, mon épave, un cadavre, une tombe, ma tombe, mon destin......
ton coeur
ton souffle sur ma peau me fait frémir de plaisir. restes près de moi, je ressens la chaleur de ton coeur qui m'envahit. un coeur si fébrile, si fragile, si sensible mais tellement attendrissant que j'en pleure de joie tant ton bonheur m'émeut........
mon âme
je l'ai réveillée au commencement de mon existence. une étincelle la garde éveillée pendant toute une vie, je sens sa chaleur me transpercer, elle me brûle, je succombe, sans elle ma vie n'est que désespoir. je la cherche, je la traque, elle me distance, j'abandonne. mon coeur perd son souffle, ma conscience s'évapore au delà des frontières de la vie...
sous terre, la vie prend tout son sens
un coeur fendu, un coeur brisé, un coeur consumé, une épave, mon épave, un cadavre, une tombe, ma tombe, mon destin......
ton coeur
ton souffle sur ma peau me fait frémir de plaisir. restes près de moi, je ressens la chaleur de ton coeur qui m'envahit. un coeur si fébrile, si fragile, si sensible mais tellement attendrissant que j'en pleure de joie tant ton bonheur m'émeut........
Jeudi 13 juillet 2006 à 9:13
Toutes mes pensées d 'hier soir...
Juste un peu de vie, juste un peu d'envie.
A la dérive. Malade ou seulement trop lucide.
Une bulle d'air n'a pas sa place dans cet atmosphère asphyxiante.
On m'enlève ma passion, on m'hôte le cœur. Des débris gisent au sol.
En désordre ma vie a un sens. On m'ordonne de l'ordonner, ils veulent me faire crever.
Paradis lointain. Trop flou pour être à ma portée. Un espoir n'efface pas mes peines. Cette peine efface tout mes espoirs.
Rien ne changera jamais. Seul je m'en irais. Si quelqu'un le remarque, je l'aimerais.
Un monde dans sa tête. Un monde sous ses yeux. Ma vie en vaut-elle la peine, allons directement aux cieux.
Ne rien laisser, partir, s'enfuir. Nouveau départ, dernier espoir. Le temps prend son temps. Le corps vit ses derniers instants. Il sera peut-être trop tard.
La vie m'attend depuis tellement longtemps qu'elle songe a me laisser sur le bas côté.
Passion, excitation, fracas, dégâts.
Plus jamais ça, obstacle. Entrave, ma vie suivra toujours les mêmes pas. Sniff
L'heure de la mort est cruelle, éternelle et bien réelle.
Indifférence de l'autre, omniprésence de soi. La vie est un cadeau, pourquoi en fais-tu un fardeau.
Tu me tues, je me tue. Je te hanterais, tu me libéreras.
Juste un peu de vie, juste un peu d'envie.
A la dérive. Malade ou seulement trop lucide.
Une bulle d'air n'a pas sa place dans cet atmosphère asphyxiante.
On m'enlève ma passion, on m'hôte le cœur. Des débris gisent au sol.
En désordre ma vie a un sens. On m'ordonne de l'ordonner, ils veulent me faire crever.
Paradis lointain. Trop flou pour être à ma portée. Un espoir n'efface pas mes peines. Cette peine efface tout mes espoirs.
Rien ne changera jamais. Seul je m'en irais. Si quelqu'un le remarque, je l'aimerais.
Un monde dans sa tête. Un monde sous ses yeux. Ma vie en vaut-elle la peine, allons directement aux cieux.
Ne rien laisser, partir, s'enfuir. Nouveau départ, dernier espoir. Le temps prend son temps. Le corps vit ses derniers instants. Il sera peut-être trop tard.
La vie m'attend depuis tellement longtemps qu'elle songe a me laisser sur le bas côté.
Passion, excitation, fracas, dégâts.
Plus jamais ça, obstacle. Entrave, ma vie suivra toujours les mêmes pas. Sniff
L'heure de la mort est cruelle, éternelle et bien réelle.
Indifférence de l'autre, omniprésence de soi. La vie est un cadeau, pourquoi en fais-tu un fardeau.
Tu me tues, je me tue. Je te hanterais, tu me libéreras.
Mercredi 12 juillet 2006 à 15:50
Imagine
Imagine,
une vie sans soleil,
un ciel sans étoiles,
des bâteaux en toiles,
un monde sans merveille.
imagine,
la mer à Paris,
une statue en caoutchouc,
des monstres en cailloux,
une vie sans soucis.
Rivière
Habitée de lumière,
abritée par la mer,
creuses ton chemin,
au milieu des pins.
A chacun son chemin
Des sourires s'embrassent,
des mains se détachent,
la pluie s'emballent,
le soleil se cache.
La vie joue,
le regard flou.
Lundi 10 juillet 2006 à 17:57
Pêche mignon de mes pensées,
espoir de mes futures années.
Passion retrouvée,
instants partagés.
Ivresse de nos paroles,
avec toi, je m'envole.
Le monde dégringole,
Nos vies décollent.
Idée d'une vie enchantée,
moment de clarté retrouvé.
A nos chemins croisés,
et à toi pour l'éternité.