Dimanche 28 janvier 2007 à 1:01

Oyez, oyez la petite tache qui se trouve dans mon esprit et qui passe toujours par ici, laisses toi guider par tes envies, de furie, de folie, de maladie. ne crèves pas tout de suite, attends encore quelque jour paske bien évidemment tu vas bientôt mourir t'as pas le choix mais prends encore le temps de disperser ta sombre et inquiétante folie, déverse là partout où tu le peux encore, car bien sûr il t'es dur de pouvoir toucher le coeur de toute l'humanité, si au moins tu arrivais à en transpercer un, rien qu'un, même un malheureux instant, tu saurais que tu as accompli quelque chose, tu ne serais pas le dernier oublié d'une longue liste qui n‘en finira jamais.



Pose un pied sur le sol acide dont tu n‘as encore aucune idée qu'il te fera devenir ce à quoi tu n'avais jamais pensé qui puisse arriver si tôt, la mort.

à l'ombre de ta peau, à l'ombre de mes mots, j'essaye de trouver la nouvelle source de mes pensées, un guide, une échappée, solide, effacées.

Dimanche 28 janvier 2007 à 0:59



8h02. Un craquement osseux se fait ressentir.
Attendre.

8h28. Un cri.
Subir.

8h54. Un souffle.
Mourir.


Mardi 16 janvier 2007 à 13:52


J'accorde à la vie une place faite de fantaisie, de gribouillis et d'insomnie.

Tu toucheras le coeur d'un enfantde tes paroles émerveillantes, il te rendras l'émotion que tu as bien voulu lui offrir le jour où il comprendra la chance qu'il a eu de pouvoir partager quelques murmures mélodieux avec toi.

Sans raison, j'ai envie d'immortaliser ma passion. Sans façon, j'ai envie de gaspiller mon don.

Un geste maladroit, un instant volé, une chute inavouée, un fracas sans émoi, tu as perdu ce goût si intense, breuvage de tes rêves, potion de tes absences.

Seras-tu le grand perdant de ce nouveau jeu, être fort face à l'humanité, être fort face à la cruauté ?

Mardi 16 janvier 2007 à 13:39




des brûlures sur ta peau,
des sons purs mais que des mots,

dessines les courbes du fond de ton coeur,
apprends à survivre avec toutes tes peurs.

                                  ~*~

réveille le son de ta voix,
émerveille le monde de tes émois,
pareil à ce qui anime tes choix.

                                ~*~
le creux de l'oubli,
t'emmeneras loin,
mais sûrement pas au paradis.

                              ~*~



Mardi 16 janvier 2007 à 13:27


Elle était vierge, pure, juste fragile. Tu te devais d'y poser une partie de ton esprit.
Quelques mots, un semblant de phrase.
 De ta peau, un morceau de bois.
Guidé par l'émotion qui t'animes, les lettres se suivent sous le poids de tes doigts.

Sans famine tu déposes ta pensée généreusement. Papier veillit, le temps passé t'a protégé. Impossible on te jetes quelques regards, immobile on prend le temps d'y apprécier un certain écart.

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