Mardi 16 janvier 2007 à 13:27
Elle était vierge, pure, juste fragile. Tu te devais d'y poser une partie de ton esprit.
Quelques mots, un semblant de phrase.
De ta peau, un morceau de bois.
Guidé par l'émotion qui t'animes, les lettres se suivent sous le poids de tes doigts.
Sans famine tu déposes ta pensée généreusement. Papier veillit, le temps passé t'a protégé. Impossible on te jetes quelques regards, immobile on prend le temps d'y apprécier un certain écart.
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