Mercredi 9 août 2006 à 23:59

Toi qui lit ses mots, tout là haut. Perché pour mieux voir notre déclin, toi qui a cru faire une bonne action un soir où tu devais être emplit de folie, à quoi pensais-tu ? Jouer avec le feu ne te fait pas peur ? Mon Dieu, qu'est ce qui te fait peur ?

Tout avait l'apparence d'un paradis il y a encore bien longtemps de cela. Développement naturel, naturel enchantement. D'un coup de baguette magique (pas si magique que ça au final) tu as détruit l'espoir, le seul, le vrai, l'espoir qu'une infime chance pourrait être donner au merveilleux de s'accomplir.

A la place, tu as amené l'enfer et la destruction s'emparer de l'innocence et la beauté.

Comme si le paradis n'était que trop parfait pour toi! On ne déchaîne pas le chaos comme on va voir une pièce de théâtre dramatique.

T'as pensé aux conséquences ?? Petit malin que tu semblais le faire croire... Hein ??! T'as pensé que t'étais pas le seul à décider de tout ! Au début si, peut-être. Mais maintenant, tu n'es plus l'ombre de toi-même. Si on t'appelles, tu réponds absent.

Quand on fait quelque chose, on en assume les conséquances !! Te défiles pas, au fur et a mesure du temps tu pourris à mes yeux. J'aimerais croire que l'Humanité à un bon fond, de tout coeur je souhaiterais  le penser. Malheureusement tu m'as comforté dans mes pensées:  le Mal est ton ami, pas ton ennemi.

Tu peux le faire croire à tout tes sujets, ils y croivent dur comme fer, ça me rend malade. Loin de moi l'envie de me les mettre à dos, mais ne joues plus ce jeu dangereux avec moi. Tu peux berner l'Humanité mais pas mon individualité !

Dimanche 6 août 2006 à 23:58


Ôde au rêve

d'abord cherché puis pensé tu introduis l'espoir dans le coeur des gens. La course folle contre le temps à commencé, pas une seconde à perdre. chaque chance est un pas vers le but final.

Obsédant, déconcertant, tu nous fais tourner la tête pour mieux t'apprécier. Faut-il vraiment un jour te concrétiser ?

La simple pensée de pouvoir l'atteindre annonce la fin une fois l'obstacle devenu réalité.

Mercredi 2 août 2006 à 18:33



Amante du soleil, son jus nous rappelle les folles matinées d'été au coin d'un olivier. Généreuse par sa couleur, elle n'est pas avare de goût. Elle se dévore autant du regard qu'elle se déguste avec les papilles.

Vendredi 28 juillet 2006 à 13:01

Derrière la face cachée

miroir indécis,
obstacles sans soucis.

sourire dessiné,
enfance imagée.

Jonquille

Dorée de lumière, sifflant l'air.
Courbée par le vent, la nuit l'apeure.

Ton regard en vaut mille pour elle.
Sa beauté est naturelle.

Laisse là démabuler au gré du vent, elle repsire.
Arrache là, elle va périr.

Entre-deux

Accablée de malchance, avalée par la souffrance.
Synonyme de survie, désignation de la mort.

Destination

Mourrir éveillé ou tout simplement vivre endormi.
Sentir l'odeur du pain grillé ou renifler la fumée.

Vie pensée, promise, partagée, perdue.

Carrefour du temps, labyrinthe du choix, accès à la vie.

°°O°°

A la fée de l'amitié tu as donné la plus belle de tes pensées, celle de la fidélité.

Jeudi 20 juillet 2006 à 20:40

Lettre I
De Delphine à Elle

Le sentiment amoureux est si bien mystérieux que les pensées elles-mêmes s'en trouvent jouées tout hasardement. Je vous prie mademoiselle de prendre le temps de parcourir toutes les lignées de cette lettre de la première syllabe à la dernière. Ma peine ne serait que plus grande si j'apprenais que ce n'était point le cas. Il en convient que je ne pourrais vous obliger en aucune manière et que je n'aurais aucun écho de votre complète lecture mais si l'humanité anime votre corps, votre cœur, je conçois que vous le ferez avec honnêteté.

Aussi inconvenant que cela puisse paraître, mon regard a été flatté de rencontrer le votre. Il s'est épris d'une certaine folie à votre égard et sa passion s'est infiltrée dans mes veines, atteignant le cœur. J'entends ses puissants battements à chaque mot qui sort de votre bouche, chaque attention de votre part me fait qu'espérer un peu plus chaque jour.

Espérer à un futur plus gai, à une vie plus harmonieuse. Tout mes passages sur Terre n'ont été que monotonie et piété. Avoir l'espérance d'une seule seconde de bonheur dans une vie vaut bien la peine que je tente ma chance. La vie est si cruelle et monstrueuse qu'apercevoir une éclaircie dans un gros orage est un signe du destin à ne pas négliger.

Je conçois bien que je pourrais vous écrire pendant des pages infinies les sentiments qui  m'animent mais je me la ferais discrète sur ce point-là, vous avez je l'espère naturellement bien compris l'état de mes sentiments envers votre personne. Faites de cette révélation un bonheur partagé.

20 juillet 20..

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